Marennes
Magnifique ville, où l’on vient en été
Armés d’un parasol, de lunettes, de crème
Ravis de ce repos, attendu toute l’année
Entendant le clocher et le coq seulement
Ni le chien des voisins, qui aboie tout le jour
Ni le cri des fêtards, étudiants pour trois ans
Enfin silencieux, iode et crustacés
Ses huîtres et ses moules, en font sa renommée.
Christiane SCHALLER